(re)commencer
Visible et mobile, mon corps est au nombre des choses, il l’est l’une d’elles, il est pris dans le tissu du monde et sa cohésion est celle d’une chose. Mais, puisqu’il voit et se meut, il tient les choses en cercle autour se soi, elles sont une annexe ou un prolongement de lui-même, elles sont incrustées dans sa chair, elles font partie de sa définition pleine et le monde est fait de l’étoffe même du corps.
Maurice Merleau-Ponty, L’Œil et l’esprit (1964)
C’est une sorte de suite au premier message de mon précédent blog (http://surlesoeil.blogspot.fr/2008/10/commencer.html). Une boucle en somme