J’ai retrouvé ce texte rédigé en 2002-2003 il y a presque quinze ans. Je ne pensais pas qu’il n’aurait pas vieilli, alors que moi j’ai bien quinze ans de plus et que l’apocalypse n’est peut-être pas loin… De ce point de vue, je ne suis pas gramscien, Pessimiste de la volonté mais optimiste de la pensée. Parce que c’est tout ce qui nous reste finalement…
A reblogué ceci sur La beauté est là où l’œil se repose.