Son corps est sans fin
Et je vois le dessein
Le vertige du sablier
Et je vois le dessein
Le vertige du sablier
Faite d’angles
Elle égrène
Dans la lumière sable
D’un après-midi d’hiver
La folie de mon voir
Elle est la plainte
Aussi aigue
Que je suis nu
L’ immense faim
Qui me vient
31 janv.-1er fév. 2009