Et le temps saigne sur le temps
Ai-je ôté cette fois assez de pétales pour toucher l’illusion d’un cœur
Enfin le centre dénudé demeure-t-il une lueur
Ou bien n’étais-je fait que d’ombres entassées ?
Olivier Barbarant, Ode en forme de rose
Et le temps saigne sur le temps
Ai-je ôté cette fois assez de pétales pour toucher l’illusion d’un cœur
Enfin le centre dénudé demeure-t-il une lueur
Ou bien n’étais-je fait que d’ombres entassées ?
Olivier Barbarant, Ode en forme de rose